UN CHEF-D'ŒUVRE RARE DE

INVISIBLE EN SALLES DEPUIS PLUS DE 30 ANS !


AU CINÉMA
LE 19 JUILLET
 2017

EN VERSION RESTAURÉE HD

 

Synopsis

 

Unique rejeton d'une maison noble, Madame Yuki a épousé un homme égoïste et vil qui non seulement la bat mais la trompe ouvertement. Masaya, son ami de longue date, est épris d'elle. Mais, respectueuse des traditions, Madame Yuki n'ose rendre à son mari la monnaie de sa pièce. Elle commence à envisager le divorce lorsque son mari l'offense cruellement...



« La dernière séquence du Destin de Madame Yuki constitue un exemple de cette perfection qui repousse toute limitation, et atteint par l'expressivité une émotion bouleversante. La dizaine de minutes finales forme une des plus belles séquences de l'œuvre de Mizoguchi et du cinéma en général. »  Positif

 

 



«Le Destin de Madame Yuki est un film à l’impeccable facture, aux contrastes soignés et harmonieux, un film esthétiquement achevé et abouti.»

Libération


Presse et distribution

 

FILMS SANS FRONTIÈRES

Christophe CALMELS

70, bd Sébastopol - 75003 Paris

Tel : 01 42 77 01 24 / 06 03 32 59 66

Fax : 01 42 77 42 66

Email : distrib@films-sans-frontieres.fr


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DOSSIER DE PRESSE LE DESTIN DE MADAME YUKI
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Fiche technique et artistique

 

Un film de Kenji Mizoguchi

 

Avec :

Michiyo Kogure : Yuki Shinano

Ken Uehara : Masaya Kikunaka

Eijirō Yanagi : Naoyuki Shinano

Yoshiko Kuga : Hamako Abe

Yuriko Hamada : Ayako

 

Réalisation : Kenji Mizoguchi

Scénario : Yoshikata Yoda, Kazuro Funabashi,

d’après le roman de Seiichi Funabashi

Production : Kazuo Takimura

Musique : Fumio Hayasaka

Photographie : Jōji Ohara

Montage : Toshio Gotō

 

 

Japon – 1950 – DCP 2K – Noir & Blanc – VOSTF – 1.37 - Son mono

Durée : 89 min – Visa N°61904

 


«Un des plus beaux portraits de femmes peints par le cinéaste. Avec des acteurs comme toujours admirablement dirigés. Mizoguchi brosse aussi le tableau impitoyable de la société japonaise d’après guerre, où l’ancienne aristocratie est obligée de faire alliance avec une nouvelle classe de parvenus, sans éducation ni morale.»

 

Télérama